Ensemble de parures votives exécutées pour l’exposition collective “Je voeux”.
Mes parure votives prendraient la forme de 7 gants ou mains.
Chacune porterait le nom d’un des 7 nains…clin d’oeil pour sur !
Ces mains seraient mes voeux de guérison pour tous les paresseux, les timides,les anxiogènes, les casse pieds, les grognons, …
En créant ces gants protecteurs, je matérialise cette volonté personnelle d’accompagner
l’autre par le toucher grâce au massage et d’accepter l’autre dans ses particularités et défauts.

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Petite scéno avec Béatrice, qui a crée des lianes-nichoirs en crochet.
Yggdrasil en fond et Planète crochet pour cette installation collective des artistes de Ginkgo.

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“L’empreinte du vécu émotionnel laissée sur le corps…
Le vêtement comme corps transfiguré.
Trois robes fantomatiques : la colère, la peur et la tristesse.
L’émotion est souvent appréciée comme un sentiment à dissimuler voir à éliminer.
Pourtant saine mais souvent refoulée, elle n’est en réalité qu’un signal
d’alerte, un message du corps visant à protéger l’individu de son
environnement.”
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Suite du travail sur les virus emprisonnés : un nouveau spécimen vient de partir pour la Turquie.
Une bonne sinusite, on en a toujours besoin …
Interprétation libre et techniques mixtes: perles et sequins, broderies, textile,….
Environ 40 cms de diamètre.
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Une planète – format ballon en mousse.
Que du crochet…pas forcément celui de nos grand-mères…
il prend du volume, devient champignons.
Et moi, je kiff cette nouvelle acquisition technique! Merci Béatrice pour ta patience.
Exposée aux “Fenetres qui parlent” à Lilles en avril 11.
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Tableau textile de 1m sur 1m50. Je passe aux grands formats….
Toute nouvelle technique de croisement de fils et planètes en gestation
pour ce mythe nordique originel revisité.
Il paraitrait qu’un arbre gigantesque aurait accouché de la Terre et
de bien d’autres mondes encore selon moi…

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Création de monstres peluches pour l’exposition “Little Big Bang” au festival de BD d’ Angoulême.
Interprétation textile des personnages créés par Tib Gordon : des poussins agressifs, de grosses
larvouzes baveuses et un monstre vert sorti du placard !

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Quand de bonnes photos font beaucoup….
Merci encore au mannequin et à Antonella, qui a pris ces beaux clichés !

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Une création pour les Inattendus …qui correspond actuellement à une réflexion
sur le corps humain et son fonctionnement…suite logique de “l’Arrosarus escargolus”.

Ces photos floues sont vraiment pourries…désolé…une séance photo porté est projeté pour y remédier !
J’ai bien aimé travailler cette technique de gainage laine… à suivre.
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Premier prix des Inattendus …la classe !
Entrelacs de racines, broderie main de sequins, teinture maison au café,
pour ce chausson à porter pour mieux s’enraciner au sol…
Spéciale dédicace a mon papyrus qui est mort pour cette Å“uvre – en haut a droite ….
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Le terme « SAMOURAIL » vient du verbe “saburau” qui signifie « servir ». Il s’agit d’une classe de guerriers professionnels au Japon.
Dans la tradition, le fils de Samouraï était soumis à une discipline très stricte. Avant même d’avoir vêtu son premier pantalon, on l’avait soustrait autant que possible aux tendres contacts et on lui avait appris à réprimer les élans affectueux de l’enfance. Ainsi, dès le moment où il savait parler, on l’enjoignait de considérer le devoir comme le seul guide de son existence, le contrôle de soi comme la première règle de conduite, la souffrance et la mort comme des accidents sans importance de point de vue individuel.

La DOULEUR est une sensation ressentie par l’organisme. Habituellement, elle correspond à un signal d’alarme de l’organisme pour signifier une remise en cause de son intégrité physique. La perception de son intensité est en partie subjective. Par ailleurs, la douleur va être mémorisée, et ce souvenir risque de « ressortir » lors d’un événement similaire.…

Nouvelle pièce dans la série des “coupes”…
Toujours sur le ton de l’humour…dissection party !
Feutre, mâchoire de mouton des Pyrénées et cerveau textile.
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“Petites choses qu’il vaut mieux avoir au mur que sous la peau.”
Série de virus brodés pour une expo collective sur la cellule à l’UTT.
Dimensions des tambours : environ 20cms
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Création d’un livre d’artiste.
Le livre est souvent considéré comme un objet sacré, le détruire relève du blasphème, mais qu’en est-il si sa destruction est un prétexte à la création ?
C’est sur ce dilemme qu’est née l’envie de cette exposition collective : proposer cette problématique aÌ€ des artistes et voir comment chacun s’en empare…

Pour ce livre d’artiste, je me suis surtout amusée de façon libre à composer des ensembles plus ou moins abstraits mélangeant tissus, broderie, perles, bribes de texte…les bouts de phrases n’ayant de valeur que pour ponctuer par endroits l’image, amenant une simili trame à une histoire plus graphique et tactile que vraiment logique. J’aime ainsi le contraste entre des mises en scène actuelles et ce texte jauni, qui date d’une autre époque…. les aspects de matières, les notes fluo, les motifs ludiques se confrontant alors à l’aspect vieilli de ce livre désué. La dimension du toucher manque souvent lorsque l’on aborde le livre traditionnel. Ici, il est plus que présent… Certaines pages sont plus “tendues” que d’autres, volontairement, afin d’avoir une approche différente dans la manière même de tourner les pages. Comme si certaines avaient plus de réticence à être découvertes. D’ailleurs, l’idée que mon livre se visite, plus qu’il ne se regarde, me plait bien… Cette activité assez nouvelle pour moi m’a vraiment été agréable : une vrai liberté dans la création et la composition tout en essayant de garder une cohérente globale, qui ne perdra pas pour autant le lecteur/visiteur.
Et ce titre si révélateur, qui ne m’est apparu qu’en cours de route “Vaillante mère” …moi qui suis enceinte…quel pied de nez ! On pourrait penser alors à une métaphore du périple que l’on aurait lorsque l’on devient mère..mais ce serait trop intellectualiser…

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Pour cet évènement musical, les commerçants prêtent leur vitrine, histoire d’animer la ville…
et cela donne ce projet qui m’a fait…suer à grosses gouttes…Eddy n’est pas une muse facile pour moi ! Il s’agit d’une interprétation textile de la chanson « Nashville ou Belleville » d’Eddy Mitchell qui a donné le titre a son nouvel album. Dans cette chanson, il se remémore son passé partagé entre la France et les Etats-Unis et se demande où se situent exactement ses racines. Je me suis donc amusée à mixer des références iconographiques propres aux deux pays avec les anecdotes contées de son enfance durant les années 5O’s ….une sorte de « melting pot » de souvenirs brodés !…

Création d’un bustier avec de “vraies” crêpes!Ça faisait longtemps que la matière “crêpe” m’intéressait et que j’avais envie de l’expérimenter..c’est chose faite. L’exposition a la Maison du Boulanger était un bon prétexte…le bustier reste très fragile pour ce premier essai..renforcé au latex afin que la surface ne pourrisse pas.…

Exposition collective des artistes de Gingko :
Nouvelles pièces à cette occasion :
– Chou mutant
– Robe “T ou Kfé” des Inattendus portée par Jess
– Plantouzes et plis
– Bustier de crèpes.…